★ my heart is gold and my hands are cold

"Pia Malavita"

Are you insane like me? Been in pain like me?
Bought a hundred dollar bottle of champagne like me?

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ÂGE ET SIGNE ASTROLOGIQUE › Pia vient de souffler ses vingt-six bougies, dépassant définitivement le quart de siècle. Elle est du signe du Bélier, fonce dedans et impatiente. LIEU DE NAISSANCE ET NATIONALITÉ › Bien que son nom de famille aie des sonorités chaudes de l'Europe du sud, Pia est bel et bien née à New-York et possède la nationalité Américaine. JOB|ÉTUDES ET STATUT MONÉTAIRE › $$$$$$, Pia est l'héritière d'un empire. Non il ne s'agit pas d'un pays, mais d'une maison de lingerie qui s'est imposée mondialement et qui implique un revenu à plus de 10 zéros par jour. Malgré sa fuite en avant des responsabilité et d'un métier stable, elle ne peut désormais plus y échapper et doit désormais gérer cette maison, notamment en tant que styliste. STATUT CIVIL › La jeune femme n'a jamais réellement eue de relation stable. Elle s'est rarement considérée en couple en fait et tient à garder une certaine distance. Elle est célibataire et va visiblement devoir le rester au vu du poste dont elle hérite. À NEW YORK DEPUIS › Depuis toujours en fait. Elle est née ici et malgré de multiples voyages à l’étranger étant plus jeune, elle a toujours aimé la ville même dans ses recoins les plus sombres. Surtout les recoins les plus éloignés de Manhattan en fait. GROUPE › MANHATTANITES. AVATAR › Emily Browning.

♡ it's alright, it's one thing i know.

(rêve le plus fou)- Pia aurait aimer vivre à une autre époque. Dans une autre famille. Elle aurait aimé être née sans obligation liée à son statut, à son rang social. Elle rêve d'être libre, libre comme un oiseau. Elle rêve de pouvoir mener la vie qu'elle souhaite sans réprimande avant tout. Doux rêve dont elle s'éloigne encore plus. Pour sa mère. Elle se laisse lentement métamorphosée en une sorte de robot, une femme mure et responsable a laquelle elle n'a pas aspiré. Elle qui rêvait de pouvoir continuer à sortir jusqu'à pas d'heure le soir, mettre sans cesse sa vie en danger pour repousser les limites de l'impossible. Elle qui vivait le rêve de la décadence avec le confort financier, elle y renonce petit à petit. (regret le plus douloureux) - Elle regrette sans aucun doute l'ensemble des mots durs qu'elle a pu avoir à l'égard de sa mère. Elle le sait, elle n'a jamais été l'enfant modèle, le bijoux de la famille. Elle n'a jamais été facile et docile. Elle était révoltée et indépendante. Elle était comme sa mère a l'époque, celle-ci lui à toujours dit. Pourtant, elle n'a jamais vu que manipulation à travers chacune des paroles de sa matriarche. Et aujourd'hui, à la voir s'amaigrir, elle sent qu'elle lui échappe, elle sent le regret la tirailler. Elle sens tout l'amour qui peut unir une mère et sa fille. (dix traits de caractère) - indépendante, têtue, déterminée, coriace, drôle, fêtarde, séductrice, loyale, fougueuse, capricieuse, drôle, maladroite, sensible, susceptible, passionnée, libérée, débrouillarde, impulsive, courageuse, brave, téméraire, ouverte d'esprit, cultivée, curieuse, jalouse, taquine, tête en l'air, attendrissante, idéaliste, rancunière. (meilleur anniversaire) - Sans aucune doute, il s'agirait de ses vingt-et-un ans. Elle traînait alors avec Cole et les autres, autant dire que leur petit groupe avait déjà bien entamé les habitudes malsaines des adultes, alcool, drogue, sexe... Mais pour les 21 ans de la jeune femme, ils ont voulu marqué le coup. D'autant plus que Pettra fêtait également ses 21 ans. Bref, ils se sont aventurés dans les terres arides de Las-Vegas. Tout ce qu'il s'est passé là-bas n'a jamais été divulgué. Ce qui se passe à Vegas, reste à Vegas. Quatre jeunes riches dans la ville des excès, bien sûr que ça n'a pas été innocent, ni propre, ni anodin. Mais si il y a eue des événements traumatisants, cela restera pour Pia le meilleur anniversaire possible car elle était avec ses meilleurs amis. (statut familial) - Elle se considère comme fille unique. Il faut dire qu'aussi indépendant qu'elle, son frère n'est pas souvent resté à la maison. Parcourant le monde et notamment en prétextant aider son père, elle n'en a jamais été proche. Sa famille, elle ne l'a jamais estimé. De jolies paillettes envoyées à l'assistance lors des grands événements. Elle n'a jamais aimé ce mode de fonctionnement et par esprit de contradiction, elle n'a pas tarder à se rebeller, leur menant une vie d'enfer. Pourtant, elle n'a jamais totalement coupé le cordon, savourant un financement complet de ses excès au final. (période de l’année préférée) - Pia se sent pour le mieux à la fin du printemps, quand l'été, peu un peu installe son soleil doré. Elle aime cette période où les jour s'allonge, les températures s'échauffent. Elle y trouve une note de légèreté qui lui fait du bien, qui l'inspire. (dernière relation) - Elle ne sait même pas si elle peut parler d'une précédente relation. Histoire avortée par sa fulgurante promotion, elle n'a jamais réellement établit leur relation comme en étant en une. Mais quoi qu'il ai put se passer avec cet homme, elle n' d'autre choix que de lui tourner le dos. Après tout, il est différent, loin de cet univers qu'elle a haït mais dans lequel elle s'est finalement investie pour l'honneur de sa mère. Elle le regrette et a bien du mal à ne pas céder aux regards langoureux et fougueux que son ancien amant lui lance, mais ils ne sont pas un bon match et ils ne pourront jamais être heureux tant qu'elle mènera la maison de lingerie de sa mère. (meilleur souvenir) - C'était il y a plus de quinze ans, il lui semble. A l'époque, la famille était au complet. C'était Thanksgiving. La plus belle fêtes de l’année. Du moins, Pia le pensait à l'époque, quant tout lui semblait beau et brillant. Il n'y avait alors que l'amour d'une famille réunie qui ne s'était pas laissé emporté dans la fébrilité de la richesse et du luxe. Il n'y avait que deux parents amoureux et leurs filles chéries. Elle ne sait pas pourquoi elle s'en souvient si bien. Il ne s'y est rien passé de plus, mais elle avait reconnu ce que c'était le bonheur. (tenue vestimentaire préférée) - Si désormais, on la voit d'avantage dans des robes aux coupes structurées et perchées sur des talons de douze centimètres, rassurez-vous, Pia préfère de loin se vêtir d'un jean déchiré, d'un simple tee-shirt blanc, d'une père de converses et une veste en cuir.

say you'll remember me:

Il n'y a rien de beau dans la maladie. Ce n'est pas comme dans les films. Il n'y a pas de musique tragique pour teinter un peu l'ambiance d'une forme de bravoure ou d’héroïsme. Il n'y a qu'un corps qui se désagrège et une famille qui se décime. Elle sentait encore la coupe de champagne entre ses doigts. Elle baignait encore dans l'odeur de cigarette mêlée, elle le savait un des effluves douteuses. C'était son parfum nocturne. Elle, la fille de la nuit. Elle, le mouton noir de la famille.
─ Pia, for fuck sake, you could have take shower before!
─ Oh, sorry! True, I should have also take a nap to be sober and ready to see mom like this.
Son père et elle ne s'étaient même pas regardés. Leurs yeux braqués sur Santana Malavita étaient le parfait tableau de leur relation. Distante. Il avait cessé de se mêler des affaires de sa fille, elle avait cessé d'être insolente verbalement. Enfin presque.
─ Do you know if your sister's coming back?
─ Dad...
Non. Elle ne reviendrait pas, Pia en était presque sûre. Voir son père s'en inquiétait était pire que tout. Cela traduisait son angoisse. Cela signifiait toute la gravité de la situation. Elle avait tout laissé. Pia avait absolument tout abandonné quand elle avait lu le message de son père. Les quinze appels qu'il avait laissé aurait dû l'inquiétait. Mais, le jour où il devait faire la couverture du Times, il lui en avait laissé vingt-sept pour être précis. Il n'y avait donc pas urgence. Et puis... Et puis elle avait lu ces quelques mots.

Citation :

Your mom's fall in the stairs. For NO REASONS. She just faint and is at the Hospital. Move. Urgent.

C'était tout. Pas de bonjour, pas d'au revoir. Juste son père, inquiet. Et elle avait accouru. Parce que c'était sa mère. Parce que malgré toute la distance que Pia entretenait avec ses parents, ils étaient son sang, sa chère, son origine. Sans eux, elle ne serait rien. Alors si un seul d'entre eux ne va pas bien, c'est aux deux autres de prendre soin de chacun. C'est une règle intangible mais qui prenait tout son sens maintenant. Une tumeur. Un cailloux dans le cerveau. Bien sûr, il y allait y avoir des opérations. Mais a chacune, c'est une angoisse qui s'installe et le doute. Survivra ou ne survivra pas ? Quelles séquelles ?
─ Pia, I want you closer... come... please...
La jeune femme s’exécute, docile pour la première fois en 15 ans. Elle s'approche, les sourcils froncés. Sa mère semble plus fatiguée encore de si près. Les traits tirés, les joues creusées, elle se dégarnit. Ses doigts fins s'agrippent à la manche de sa fille. Ils n'y aucune force dans ce geste, tout parait vide dans ses actions. Sauf le coeur de Pia. Celui-ci est gros. Remplit. Il déborde presque. De peines, de tristesse, de rage, d'injustice. C'est sa mère et elle se meurt.
─ I can't do this...
─ You'll be fine. Docteur Ross is the best in the city, don't worry...
─ I'm not talking about this. I pay more than undreds for that surgeon. He sur has to be the best ! No, I'm talking about Malavita Factory. I can't handle it from here and Jolene can't handle it.
─ Come on, you pay Jolene hundreds too, she can handle it.
─ But not as much as you.
Le doux sourire que Pia arborait se figea instantanément. De quoi était-il question ? De remplacement ? D'assistance ? De "promotion" ?
─ I need you to be better than now and better tan I will ever be. I need you at my place.
Pia regardait sa mère. Non, elle la dévisageait. De toute sa vie, elle n'aurait jamais pensé avoir une telle discussion avec elle. Elle avait bien en tête quelques brides de discussions s'apparentant à des "j'étais comme toi, avant", mais cela n'avait pas de sens si ce n'est trouver un moyen de pardonner les erreurs de son enfant. Du moins, aux yeux de Pia, ça l'était.
─ I saw your draws. Your good. And your my daughter. I trust you. Despite everyting. You've got passion. You'll do good. I trust you.
La jeune fille se sentait soudainement investie. Tout d'un coup, un poids qu'elle avait soigneusement évité de porter s'installait allègrement sur ses épaules. Elle, à la tête d'une multinationale en lingerie ? Elle n'avait jamais réellement à être à la tête de quoi que ce soit et répugnait à avoir des personnes à sa bottes. La maladie rendait sa mère folle. Elle en était de plus en plus sûr.
─ Dad, you need to find someone for the company.
Elle avait entraîné son père dehors, à l'écart. Il fallait bien donner un peu de sens à tout ça. Son père en avait toujours eue. Accompagné de sa rigueur légendaire.
─ We've already find.
Il la regardait droit dans les yeux et elle sentait petit à petit le poids s'alourdir.
─ This company is everything your mom loves. She wants you, and only you, to take over the business. I can't blame her despite I think you'll ruin her if you keep living like you do.
C'était donc ça.
C'était rester dans sa vie de débauche, sans autre but que de flamber avec des déshérités et des désenchantés. Ou bien, elle pouvait s'investir, au nom de sa mère, dans une vie qui l'avait toujours répugné ?
─ Give me your wisky.
Elle tendit la main vers son père qui lui jeta un regard de biais. Pia inclina la tête le plus sérieusement du monde. Alors son père consentit, non sans souffler et maugréer, en lui tendant la petit flasque qu'il gardait dans la poche interne de sa veste. Face à la vitre la séparant de la chambre de sa mère, elle contempla le bref reflet qu'elle apparaissait. Elle n'avait aucune fière allure. Son mascara coulait un peu malgré les cent dollars investis dedans. Ses cheveux ne tenaient absolument pas, laissant échapper des mèches hirsutes. Le décolleté de sa robe n'était même pas droit. De l'autre côté de la vitre, sa mère avait une allure plus dégradée encore. A quoi voulait-elle ressembler ?
─ Ok. I'll do it. I'll hold Malavita Factory.
Elle eue une dernière pensée pour Cole. Ce n'était pas comme s'ils étaient engagés, non ? Ca n'avait donc pas d'importance.

emichou.
bienvenue parmi nous, je te réserve la belle.
j'ai deux comptes à ta disposition si jamais.

luciechou
comme ça me fait plaisir de te trouver là
Je vais surement te MPotter, notamment avec Jill, j'ai une idée
Merci mi amor

j'ai fais un petit changement de tête, mais le personnage reste le même
Mon mathou t'es parfaite avec Lucy merciiii

Cha, parks est tellement belle merci beaucoup ma beauté

millie, oh comme alycia est mignone
merci beaucoup à toi, je suis ravie que Emily plaise